



Les Mondes d'Asmodeus
Sylla la blanche

Humaine de 20 ans apparents
Classe : Aubergiste
Titre connu : Patronne de l'Auberge de la Marée Haute
Domiciliation connue : Néthéril / Shaarlan / Saltmarsh
Alignement connu : Neutre Bonne
Culte : Waukyne
Taille : 1 m 73 Poids : 60 Kg
Signes particuliers : Elle connaît tout le monde et sait tout avant tout le monde
Armes connues : Rouleau à pâtisserie +1
Armure connue : -
Objets possédés connus : -
Ce que tout le monde sait : Sylla est née un soir de tempête, lors d’un solstice d’hiver, dans une chambre de la taverne même qu’elle dirige aujourd’hui. Sa mère, une ancienne chanteuse de bordel reconvertie en aubergiste, est morte en couche, et personne n’a jamais su qui était son père… sauf peut-être un vieux pêcheur qui marmonne parfois que Sylla "a le regard des profondeurs".
Élevée par les habitués de la "Marée Haute" et par l’ancien tavernier Groff, Sylla a grandi au rythme des chants de marins, des verres qui trinquent, et des histoires murmurées à la lueur des chandelles.
À 16 ans, elle reprend la taverne après la mort soudaine de Groff... d’un “accident de tonneau”, officiellement. Mais certains disent qu’il aurait vu quelque chose qu’il n’aurait pas dû dans les caves de la taverne.
Depuis, Sylla a transformé la "Marée Haute" en centre névralgique de la vie locale, où se croisent pêcheurs, contrebandiers, mercenaires, rêveurs et espions. Elle écoute, observe, et sourit. Elle ne répète jamais... à moins que ça ne vaille la peine.
Sylla semble avoir une intuition presque surnaturelle : elle sait quand quelqu’un ment, quand une tempête approche, ou quand la bière tourne. Certains pensent qu’elle a hérité de dons d’un peuple ancien, peut-être même d’un lien avec une entité marine oubliée. Une lueur étrange danse parfois dans ses yeux quand elle est seule près des flots…
Elle conserve un vieux grimoire bien rangé dans une trappe sous le bar, écrit dans une langue oubliée, qu’elle consulte parfois les nuits de pleine lune. Elle dit que c’est "juste un vieux journal de recettes", mais personne n’y croit vraiment.